– Google est en train de mettre en ligne plein de bibliothèques.
– Whaouw !
-Chuttt !
– (Visiblement, ils ne négligent aucun détail)
– (je vois çà !)
– Google est en train de mettre en ligne plein de bibliothèques.
– Whaouw !
-Chuttt !
– (Visiblement, ils ne négligent aucun détail)
– (je vois çà !)
Notre bravitude habituelle nous pousse à traduire le texte sur l’image :
Après une longue journée à la bibliothèque, la dernière chose dont a besoin Margaret, c’est un bon livre.
Sacrée Margaret, va !
Vu sur le blog des bibliothèques de Marennes Oléron
Est-ce l’appel du printemps ? en tous cas, ces collègues sont sorties à la rencontre de leur cher public avec un clip dont le titre est éloquent : 200$a Having fun isn’t hard when you’ve got a library card ! $d S’amuser, c’est facile quand on a une carte de bibliothèque
Bon ok, le titre parallèle sonne moins bien que le $a, mais on a eu une petite pensée pour les non anglophones.
Mais vous pouvez préférer la version djeun’s
Et après on s’étonnera qu’ils déchirent les livres !
… avec encore une bibliothécaire à lunettes, mais c’est vrai qu’elles sont pas mal ces montures rouges.
Il se murmure à New York que c’est après avoir lu ce billet sur Couvillencoul que l’ONU a décrété une année internationale des toilettes.
PS : au delà de la plaisanterie, c’est une noble cause. |
La richesse de RAMEAU est incommensurable. En voici un exemple hygiénique :
Pots de chambre [+ subd. géogr.]
Vedette matière nom commun . S’emploie en tête de vedette
<Employé pour :
Bourdaloues
Bourdalous
Pisse-pots
Pots (hygiène)
Pots de commodité
Pots de nuit
Vases de nécessité
Vases de nuit
<<Terme(s) générique(s) :
Articles pour bébés
Récipients
Toilette — Accessoires
>><<Terme(s) associé(s) :
Bassins hygiéniques
Ce que vous allez voir n’a rien à voir avec les bibliothèques : mais on a quand même droit de parler d’autre chose, non ?
Ce qu’il faut c’est avoir la forme et se couler dans le moule !
Et après tout, cela pourrait être une épreuve pour les deuxièmes biblioblogades.
Pour vous mettre en appétit pour votre visite au Salon du livre, la maxime du jour :
En dehors du chien, le livre est le meilleur ami de l’homme.
à l’intérieur, il fait trop sombre pour lire ( Groucho Marx).
Citation repérée sur le site radama.free.fr, dont nous reparlerons bientôt…
Surfant sur la vague Ch’ti, Couvillencoul vous suggère, après la visite de la baraque à frites et de la poste de Bergues, de visiter le musée approximatif ci-dessous :
A quand un Musée de l’avenir et de la bibliothèque de Bergues et lointains ?
Un petit Mp3 réjouissant trouvé sur le site du Laughing librarian et une tentative très libre de traduction. Vous voudrez bien noter les rimes riches…
.
The Bookmobile Ran Over My Dog Recorded by: Marc Record and the Good Ol’ PACs It was on a Wednesday My books were real late The bookmobile ran over my dog She didn’t bark Now I could blame God The bookmobile ran over my dog The bookmobile ran over my dog … (Lyrics and music: Smith) |
Le Bibliobus a écrasé mon chien enregistré par « Marc Notice et les OPACs » C’était un mercredi Mes livres étaient très en retard Le bibliobus a roulé sur mon chien Il n’a pas aboyé Je pourrais mettre cela sur le compte de Dieu Le bibliobus a roulé sur mon chien Le bibliobus a écrasé mon chien ! (Paroles et musique : Smith) |
Grâce à la photo de groupe des biblioblogades, vous allez (enfin) connaître le visage des Couvillencoul, dont deux dignes représentants étaient présents ce vendredi soir désormais historique à Paris :
Bon, d’accord, Melvil était un peu de guingois, mais c’est sans doute l’effet de la bière.
PS :Tout le monde n’est pas sur la photo, certains avaient déjà rejoint leurs terres lointaines. Merci aux journalistes de www.actualitte.com (excellent site à découvrir) qui ont joué les paparazzi.
Blogo numericus est un blog de bibliothécaire bien connu.
Mais les voies des filtreurs de nos informaticiens sont parfois impénétrables…
D’où ce message émis par nos autorités municipales.
Biblioblogades ? biblio + rigolades : L’idée lancée par le blog liberlibri d’organiser une rencontre informelle et pas sérieuse des « biblioblogueurs » autour d’un verre au moment du Salon du livre est devenue réalité !
Rendez-vous donc le 14 mars à partir de 19h au Bazart café, café wifi métro Bastille à Lutèce. (Bon d’accord, il faut se trouver un ordre de mission pour justifier sa présence à Paris, mais on n’a rien sans rien, et le Salon du livre est là pour cela)
Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez par exemple analyser cet échange de Mlle Liberlibri qui évoque les biblioblogades avec Mme sa mère et des réflexions que celle-ci lui fit.
– Biblioblogades, je pense que c’est parce que ça rimait avec olympiades.
– Mouais, dit Mme sa mère. Ce sont tes racines qui sont ressorties.
– Mes racines ?
– Ca rime avec cargolade.
– Heu, c’est quoi une cargolade ???
– Enfin, c’est la même chose qu’une mounjetade, mais avec des escargots !
Ben voyons…
Et si cela se trouve, des rédacteurs de Couvillencoul bien pourraient en être…
Radbibli, l’ami des enfants, te souhaite la bienvenue.
Prends le temps d’écouter les consignes de ton ami Radbibli.
De plus, tu peux essayer la version démo de BIBLIODEFI , un jeu passionnant pour mettre à l’épreuve tes connaissances du système de classification Dewey utilisé par ton école pour classer les volumes de la bibliothèque.
Si le coeur t’en dit, sors tes feutres ou tes crayons de cire et ajoute de la couleur au DESSIN de ton ami Radbibli.
Ceci est un petit extrait du site québécois du Centre régional des ressources documentaires, le CERRDOC,
Couvillencoul s’offre un pigiste de luxe : Régis Debray, qui dans le Monde du 6 mars répond aux élucubrations d’une commission Marc Lévy-Paul Loup Sulitzer-Michel Edouard Leclerc chargée par Nicolas « casse-toi pôv’ con » Sarkozy de réfléchir à l’avenir du livre.
Pour vous mettre en appétit, citons juste cet extrait de Debray concernant le dépôt légal :
1. Fin du dépôt légal. S’il est vrai que le livre sur papier relève du domaine des antiquités, et la Bibliothèque nationale François-Mitterrand du délire d’un pharaon républicain, la conservation des modes de vie anciens a ses limites. La notion de patrimoine aussi. Qu’une ordonnance de François Ier (1537) fasse encore loi à l’ère du numérique confine au grotesque. Feront désormais l’objet d’un dépôt obligatoire les seuls ouvrages qui répondent à une demande réelle du consommateur : la liste des meilleures ventes hebdomadaires de L’Express fera foi. L’offre de livres étant pléthorique, volatile et hétérogène, il faut des repères sûrs. |
Et si tout ceci était un joli canular ?
Télérama n°3034 du 5 mars 2008 en fait des gorges chaudes page 10 : «Viennoiseries – Petite idée en provenance d’Autriche pour les candidats en panne. La mairie de Vienne a mis en place une hot line où, moyennant 0,39 euros, une actrice lit un texte érotique, classique ou moderne, au téléphone. Et pourquoi ? Pour financer la bibliothèque municipale.»
L’hebdo, obsédé par le contexte électoral français, s’est sans doute laissé abuser par ce blogueur qui persifle sur le tarif. Il s’agit plus simplement d’une opération de la bibliothèque municipale concernant sa collection de Secreta (nous dirions son Enfer, comme à la BnF) composée de littérature érotique des 18e, 19e et 20e siècle. En appelant l’Erotik Hotline entre le 11 avril et le 31 mai 2008, on pourra pour 39 centimes d’euro par minute entendre l’actrice Anne Bennent lire des extraits de divers auteurs, dont Restif de la Bretonne. Cette action, menée en partenariat avec l’association culturelle Aktionsradius Wien qui organise une Nuit de l’amour le 6 mai, est certes autofinancée mais n’a pas de but lucatif !
(Désolé pour les liens : sauf celui pointant vers la BnF, ils sont réservés à ceux qui entendent la langue de Freud… et de Sacher Masoch !)
327 : Notes de contenu